Ce soir à la télé Capitaine Marleau avec Corinne Masiero et Gustave Kervern un épisode culte à ne pas manquer sur France 2

Capitaine Marleau, France Télévisions, Josée Dayan, Corinne Masiero et polar français : voilà les mots-clés immanquables de la soirée télé de ce 1er août 2025 ! Les amateurs de séries policières excentriques et de guests prestigieux savent déjà qu’il ne faut pas rater la diffusion de l’épisode « Deux vies » de Capitaine Marleau sur France 2 à 21h10. Plébiscitée pour son personnage principal irrésistible, jouée par l’incroyable Corinne Masiero, la série conserve un statut à part dans l’écosystème audiovisuel français. Impossible de ne pas s’arrêter sur l’aura de Marleau, dont les enquêtes repoussent toujours les limites du classique pour injecter une bonne dose de fantaisie, d’humour noir et de portraits humains décapants.

Capitaine Marleau, France Télévisions et polar français : un épisode à double visage

Impossible de spoiler l’épisode « Deux vies » sans ruiner le plaisir du jeu de piste concocté par Josée Dayan et son équipe ! Dès les premières minutes, on se retrouve happé dans une forêt énigmatique, décor typique de la série, où l’on découvre le corps de Lætitia, dont la véritable identité – Pauline, disparue depuis une décennie – va alimenter une enquête tordue à souhait. Le charme de Capitaine Marleau réside justement dans sa capacité à mixer des situations humaines d’une grande complexité, des secrets de famille lourds de conséquences et des caractères hauts en couleur.

Pour cet opus, la réalisatrice Josée Dayan a réuni un casting impressionnant. On retrouve l’excellent Gustave Kervern dans le rôle du compagnon mystérieux, l’inoubliable Mylène Demongeot (dans l’un de ses derniers rôles touchants), Pascal Légitimus qui apporte son grain de folie, et Marina Golovine en victime aux identités multiples, affichant une belle intensité dramatique. L’alchimie entre tous ces talents pimente l’enquête, et c’est bien ce cocktail improbable de comédie, de sensibilité et de suspense qui a fait entrer la série dans le cercle restreint des incontournables du paysage télé français.

L’héritage unique de Capitaine Marleau et l’empreinte de Corinne Masiero

Capitaine Marleau n’est pas une série policière ordinaire : sa marque de fabrique, c’est d’abord l’irrévérence. Corinne Masiero, bonnet vissé sur la tête, multiplie punchlines décalées et improvisations jubilatoires, toujours sur le fil du grotesque. L’un des éléments les plus fascinants reste ce mélange détonnant entre la noirceur des histoires (ici, une mère qui a dû “mourir” à une vie pour en gagner une autre) et l’humour qui coupe court au pathos.

Cet épisode, conçu comme une fiction originale, explore la notion très contemporaine de double identité et ses conséquences tragiques – impossible de ne pas y voir un clin d’œil à la pop culture (avec ses héroïnes mystérieuses) et à une filiation revendiquée avec les Columbo, Arabesque et autres séries à guests du petit écran anglo-saxon. Chaque semaine, Marleau accueille une star ou une légende de la scène française, transformant chaque enquête en mini-événement. La production s’offre même des hommages cachés aux grands noms du polar, discrètement glissés dans les noms de personnages secondaires, clin d’œil réservé aux vrais nerds de la série.

• Le personnage de Marleau, chapka vissée sur la tête, est devenu un véritable ovni du petit écran français, adulé pour sa liberté de ton et son côté inclassable.
• Tous les comédiens invités voient leur prestation scrutée et souvent saluée par la critique, pour leur manière de se fondre ou de rentrer en collision avec la folie du personnage principal.

Côté réalisation, Josée Dayan impose encore son exigence. Elle laisse une large place à l’improvisation, dopant par là l’énergie des dialogues et entretenant cette impression de folie douce qui rend chaque épisode si addictif. Petite info geek : la réalisatrice a dû batailler ferme pour imposer Corinne Masiero, contre le souhait initial de la chaîne, préférant miser sur un visage atypique et une approche résolument anticonformiste du “capitaine détective”. Pari plus que gagné, puisque la série, devenu phénomène, brille au panthéon des polars hexagonaux depuis déjà plusieurs saisons.

Capitaine Marleau, un succès populaire et critique qui ne faiblit pas

Chaque nouvelle diffusion de Capitaine Marleau crée l’événement. Les audiences explosent, surfant sur une fanbase fidèle et très active sur les réseaux. L’accueil du public est massif, voire affectif : on retrouve sur les forums et groupes de discussion une vraie communauté prête à défendre la série farfelue et son héroïne cabossée. Côté critiques, l’originalité de la série, sa capacité à se renouveler tout en restant dans la grande tradition du whodunit familial, sont fréquemment saluées. On reproche parfois à la série une certaine formule ou redondance des codes, mais la comédie humaine offerte à chaque épisode – surtout avec les révélations sur le passé des victimes et l’excellence des guests – remporte la partie.

Ce soir, pour tous ceux qui veulent s’immerger dans ce qui se fait de plus audacieux – et de plus personnel – dans le polar télé français, « Deux vies » rassemble vraiment tout ce qui met d’accord public de la première heure et nouveaux curieux : un mystère retors, un portrait social saisissant, et des numéros d’acteurs comme on en voit peu à la TV.

Voilà donc ce qu’il faut voir absolument à la télévision ce soir : un entrelacs d’émotions, de secrets cachés et de numéros d’acteurs jubilatoires, garantissant suspense, rire et un regard original sur la société. Capitaine Marleau confirme épisode après épisode son statut culte dans le cœur des spectateurs, et ça, ça mérite bien un détour par France 2 ce vendredi soir !